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« L'Espérance voit ce qui n'est pas encore et qui sera. Elle aime ce qui n'est pas encore et qui sera. Dans le futur du temps et de l'éternité. »
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Extrait
À l'approche du 1er janvier qui marque le Nouvel An du calendrier grégorien, RFI part à la rencontre de communautés, à travers le monde, qui défendent une manière singulière de célébrer le passage à la nouvelle année, parfois à des dates bien différentes.
Au Maroc, à majorité musulmane, on célèbre le premier mois de l'année lunaire musulmane le 1er Moharram de l’an de l’Hégire. Mais un quart de la population fête le Nouvel An amazigh le 13 janvier de chaque année
Autres plats festifs, le Berkoukes, des gros grains de semoule de blé dur roulés à la main et accompagnés de légumes de saison et de viande, ou encore le Tagoulla.
« C’est une purée à base de semoule d’orge ou de maïs que l’on mange avec de l’huile d’argan, du beurre fondu ou de l’amlou (purée d’amandes ou de cacahuètes torréfiées et mélangées avec de l’huile d’Argan et du miel) », décrit Kalthoum. Pour les fêtes, les familles ajoutent des dattes, des amandes ou encore des noix.
« Je suis originaire de Tiznit, il m’est impossible de célébrer Yennayer sans en manger. C’est mon plat préféré et celui que j’adore préparer avec ma grand-mère"