On peut souligner l'impact négatif d'un afflux d'immigration trop élevé, on d'une gestion déficiente, sans blâmer les immigrants, c'est-à-dire les personnes qui quittent leur pays à la recherche d'une meilleure qualité de vie. Ces dernières en arrachent de plus en plus en arrivant dans un pays qui n'a plus les moyens de les accueillir et de les intégrer convenablement. À mon avis, cet article ignore cette distinction, comme le fait Bouazzi.
C'est une ligne qui est facile à franchir dans les deux sens et je n'irais certainement pas jusqu'à dire que la CAQ ne l'a jamais traversée au nom du nationalisme. Par contre je pense que tant qu'on ne reconnait pas qu'elle existe, on n'arrivera à rien de productif.